L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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Zurich... Benjamin en lice dès demain...
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11 Août 2014 - ibal
Source DNA du lundi 11 Août 2014
«Il est temps d’ouvrir mon palmarès»
Le Wolfisheimois Benjamin Compaoré entre en lice demain à 13h12 en qualifications du triple saut. Une première étape dans sa quête du Graal.
L’athlète du Strasbourg Agglomération reste sur une 5e place – quasiment sur une jambe – en championnats d’Europe, à Barcelone en 2010. Depuis, le champion du monde junior 2006 a terminé 8e des Mondiaux de Daegu en 2011 et 6e des Jeux olympiques à Londres en 2012.
Quel est votre état d’esprit à la veille de débuter ces championnats d’Europe 2014 ?
Il y a une belle opportunité à saisir, j’en suis conscient et tout le monde me le dit, mais je préfère ne pas trop y penser. Je viens toujours à un grand championnat avec le même état d’esprit et l’envie de bien faire. Dans le passé, j’ai souvent affiché ouvertement mes objectifs, je le fais moins désormais, mais ils sont très clairs dans ma tête et ceux qui me connaissent les connaissent.
«J’ai le sentiment que je vaux mieux que 17,31 m »
Vu les forces en présence, quand même…
(il coupe) Ce que je peux dire, c’est que j’espère réaliser ce que je pense valoir depuis plusieurs années, surtout que je suis désormais vraiment bien physiquement. Le triple saut est certes très traumatisant, mais c’est aussi l’une des seules disciplines de l’athlétisme où l’on voit des mecs de 34-35 ans qui sautent encore (Nelson Evora, Marian Oprea, Fabrizio Donato, etc, NDLR ). Là, on dirait qu’il y a une génération qui est en train de passer, ce qui explique que l’on ne soit que quatre à avoir passé 17 m cette saison en Europe.
Justement, vous faites partie de ces quatre-là (17,12 m). C’est la preuve qu’il y a vraiment une belle opportunité à saisir, non ?
Je pense valoir quelque chose, j’ai des références à l’entraînement qui vont dans ce sens, je connais quand même un peu le triple saut… Bref, j’ai le sentiment que je vaux mieux que 17,31 m ( son record d’Alsace, qui remonte au 16 septembre 2011 à Bruxelles ) donc il ne faut pas me regarder de travers quand je dis que je veux gagner les Jeux Olympiques, comme il y a deux ans. Là, j’ai mis toutes les chances de mon côté, je me sens bien. Il est vraiment temps que j’ouvre mon palmarès en plein air.
«Il est temps d’ouvrir mon palmarès»
Le Wolfisheimois Benjamin Compaoré entre en lice demain à 13h12 en qualifications du triple saut. Une première étape dans sa quête du Graal.
L’athlète du Strasbourg Agglomération reste sur une 5e place – quasiment sur une jambe – en championnats d’Europe, à Barcelone en 2010. Depuis, le champion du monde junior 2006 a terminé 8e des Mondiaux de Daegu en 2011 et 6e des Jeux olympiques à Londres en 2012.
Quel est votre état d’esprit à la veille de débuter ces championnats d’Europe 2014 ?
Il y a une belle opportunité à saisir, j’en suis conscient et tout le monde me le dit, mais je préfère ne pas trop y penser. Je viens toujours à un grand championnat avec le même état d’esprit et l’envie de bien faire. Dans le passé, j’ai souvent affiché ouvertement mes objectifs, je le fais moins désormais, mais ils sont très clairs dans ma tête et ceux qui me connaissent les connaissent.
«J’ai le sentiment que je vaux mieux que 17,31 m »
Vu les forces en présence, quand même…
(il coupe) Ce que je peux dire, c’est que j’espère réaliser ce que je pense valoir depuis plusieurs années, surtout que je suis désormais vraiment bien physiquement. Le triple saut est certes très traumatisant, mais c’est aussi l’une des seules disciplines de l’athlétisme où l’on voit des mecs de 34-35 ans qui sautent encore (Nelson Evora, Marian Oprea, Fabrizio Donato, etc, NDLR ). Là, on dirait qu’il y a une génération qui est en train de passer, ce qui explique que l’on ne soit que quatre à avoir passé 17 m cette saison en Europe.
Justement, vous faites partie de ces quatre-là (17,12 m). C’est la preuve qu’il y a vraiment une belle opportunité à saisir, non ?
Je pense valoir quelque chose, j’ai des références à l’entraînement qui vont dans ce sens, je connais quand même un peu le triple saut… Bref, j’ai le sentiment que je vaux mieux que 17,31 m ( son record d’Alsace, qui remonte au 16 septembre 2011 à Bruxelles ) donc il ne faut pas me regarder de travers quand je dis que je veux gagner les Jeux Olympiques, comme il y a deux ans. Là, j’ai mis toutes les chances de mon côté, je me sens bien. Il est vraiment temps que j’ouvre mon palmarès en plein air.
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