L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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Pôle espoir du CREPS de Strasbourg...
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10 Octobre 2014 - ibal
Source DNA du 10/10/2014
« Faire grandir la machine à performance, car c’est clairement ça. » Les propos de Jacques Danail, son nouveau directeur, résument la raison d’être du pôle athlétisme.
Le groupe perche avec le coach Henrique Guerra (à gauche),
assisté de Camille Simon (en-dessous) avec Louise Lallement et Maeva Alves (en haut au centre), Yanis Alves, Séverine Metzger, Alice Hansmann, Marie Bode et Lucas Mathieu (en bas).
Une page s’est tournée, mais les liens avec le passé récent demeurent. Nommé chef du département sport de haut niveau du CREPS, Pascal Lacombe a, au bout de 28 riches années, passé le flambeau à Jacques Danail, par ailleurs conseillé technique régional ( CTR ) d’Alsace.
Le départ de Pascal Lacombe aurait pu constituer un frein pour l’élite dans la région. De par les nouvelles fonctions de son prédécesseur, Jacques Danail, qui travaillera en complicité avec son alter ego Henrique Guerra, y voit un plus. «Pascal connaît nos problématiques.»
La passation de pouvoir fut l’occasion pour Jeunesse et sport, par la voix de son directeur régional adjoint, Damien Kleinmann, et la Ligue d’Alsace, par celle de son vice-président Rémi Stangret, de réaffirmer leur aide à la structure.
Le groupe saut avec l’entraîneur Jean-Luc Latzer (à gauche),
Meryem Demir et Laure Petit (au centre).
«Les pôles ne sont plus subventionnés par l’État à la même hauteur qu’avant. Celui-ci fonctionne en grande partie grâce au soutien de la Ligue d’Alsace», a d’ailleurs insisteé Jacques Danail.
Mehdi Baala, Benjamin Compaoré notamment y ont façonné leur talent. Céline Distel, Mélanie Skotnik, Jérôme Haeffler, Jérémy Nicollin leur emboîtent le pas. Le fréquenter constitue une fierté qui engendre des responsabilités. Cela se mérite.
«Nous vous demandons une chose, être exemplaire», a lancé Rémi Stangret aux près de 40 athlètes concernés.
«Soyez conscient du boulot à abattre, a complété Jacques Danail. Le sport de haut niveau nécessite notamment un suivi médical, diététique. On ne manque pas les entraînements, on travaille en classe et on obtient des résultats. Nous avons mis en place une grille de repérage. Être encore là l’an prochain consiste votre objectif.
Le pôle espoir du CREPS de Strasbourg...
... la machine à performances.
... la machine à performances.
« Faire grandir la machine à performance, car c’est clairement ça. » Les propos de Jacques Danail, son nouveau directeur, résument la raison d’être du pôle athlétisme.
Le groupe perche avec le coach Henrique Guerra (à gauche),
assisté de Camille Simon (en-dessous) avec Louise Lallement et Maeva Alves (en haut au centre), Yanis Alves, Séverine Metzger, Alice Hansmann, Marie Bode et Lucas Mathieu (en bas).
Le départ de Pascal Lacombe aurait pu constituer un frein pour l’élite dans la région. De par les nouvelles fonctions de son prédécesseur, Jacques Danail, qui travaillera en complicité avec son alter ego Henrique Guerra, y voit un plus. «Pascal connaît nos problématiques.»
La passation de pouvoir fut l’occasion pour Jeunesse et sport, par la voix de son directeur régional adjoint, Damien Kleinmann, et la Ligue d’Alsace, par celle de son vice-président Rémi Stangret, de réaffirmer leur aide à la structure.
Le groupe saut avec l’entraîneur Jean-Luc Latzer (à gauche),
Meryem Demir et Laure Petit (au centre).
«Les pôles ne sont plus subventionnés par l’État à la même hauteur qu’avant. Celui-ci fonctionne en grande partie grâce au soutien de la Ligue d’Alsace», a d’ailleurs insisteé Jacques Danail.
Mehdi Baala, Benjamin Compaoré notamment y ont façonné leur talent. Céline Distel, Mélanie Skotnik, Jérôme Haeffler, Jérémy Nicollin leur emboîtent le pas. Le fréquenter constitue une fierté qui engendre des responsabilités. Cela se mérite.
«Nous vous demandons une chose, être exemplaire», a lancé Rémi Stangret aux près de 40 athlètes concernés.
«Soyez conscient du boulot à abattre, a complété Jacques Danail. Le sport de haut niveau nécessite notamment un suivi médical, diététique. On ne manque pas les entraînements, on travaille en classe et on obtient des résultats. Nous avons mis en place une grille de repérage. Être encore là l’an prochain consiste votre objectif.
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