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27 Juillet 2015 - ibal
Extrait de l'article paru dans les DNA du 27/07/2015
Maeva Alves retiendra la leçon
Tout comme pour Maeva Alves (S2A), remarquablement lucide mais surtout pas abattue après être passée à côté de sa finale de la perche espoir. Après avoir franchi 3,70m à sa 2e tentative, elle a échoué à 3,85m, loin de ses 4,17m de juin, alors que l’argent se jouait à 3,95m, derrière l’intouchable Ninon Guillon-Romarin (4,35m).
« Pas glorieux. Les conditions étaient parfaites, je n’ai aucune excuse, reconnaît la Lingolsheimoise. Je n’ai pas l’habitude d’aborder une compétition en haut du bilan. J’ai fait et refait le concours tout au long de la semaine et je n’ai pas dormi la nuit dernière. Je me suis mis une pression supplémentaire, je n’ai pas su gérer. »
Sans ressort, comment vouloir sauter à la perche ? « J’ai essayé de me relâcher, sans quoi je saute en force. Quand je ne sors pas mes beaux sauts, ça ne donne rien du tout. Mais je ne suis pas arrivé à me détendre. »
L’athlète de l’IBAL, qui sort, rappelons-le, de ses premiers championnats de France élite, prend ça comme une bonne leçon, une expérience à méditer et, comme dit, prend rendez-vous. « Je n’ai pas démérité cette année. Je sais ce que je vaux. Ce n’était pas pour cette fois, ce sera pour l’an prochain. »
Maeva Alves retiendra la leçon
Tout comme pour Maeva Alves (S2A), remarquablement lucide mais surtout pas abattue après être passée à côté de sa finale de la perche espoir. Après avoir franchi 3,70m à sa 2e tentative, elle a échoué à 3,85m, loin de ses 4,17m de juin, alors que l’argent se jouait à 3,95m, derrière l’intouchable Ninon Guillon-Romarin (4,35m).
« Pas glorieux. Les conditions étaient parfaites, je n’ai aucune excuse, reconnaît la Lingolsheimoise. Je n’ai pas l’habitude d’aborder une compétition en haut du bilan. J’ai fait et refait le concours tout au long de la semaine et je n’ai pas dormi la nuit dernière. Je me suis mis une pression supplémentaire, je n’ai pas su gérer. »
Sans ressort, comment vouloir sauter à la perche ? « J’ai essayé de me relâcher, sans quoi je saute en force. Quand je ne sors pas mes beaux sauts, ça ne donne rien du tout. Mais je ne suis pas arrivé à me détendre. »
L’athlète de l’IBAL, qui sort, rappelons-le, de ses premiers championnats de France élite, prend ça comme une bonne leçon, une expérience à méditer et, comme dit, prend rendez-vous. « Je n’ai pas démérité cette année. Je sais ce que je vaux. Ce n’était pas pour cette fois, ce sera pour l’an prochain. »
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