L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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5 Janvier 2016 - ibal
Source DNA du 05/01/2016
Christophe Freysz n’est plus
Grand serviteur de la cause basket, Christophe Freysz s’est éteint dimanche. Il avait 41 ans.
« L’Angel All Star game attendait un glorieux coach pour débuter la partie, le meilleur vient d’arriver », a écrit le club de Furdenheim sur son site internet. Entraîneur reconnu, passionné de basket et figure appréciée par tous ceux qui ont eu le privilège de le côtoyer, Christophe Freysz est décédé avant-hier des suites d’une longue maladie, après un combat supporté avec un courage et une dignité qui forcent l’admiration.
Né à Strasbourg le 26 septembre 1974, benjamin d’une famille de trois enfants, Christophe Freysz a été joueur à Furdenheim et son mètre quatre-vingt ne l’avait pas empêché de faire apprécier sa détente lors d’un concours de dunks. Il s’était d’ailleurs aussi essayé au saut en hauteur, à Lingolsheim, après ses saisons de basketteur, avec un record à 1,93 m, « assis ».
Détenteur du BE1, il a coaché les féminines de Furdenheim et Duttlenheim, en championnat de France. Citoyen d’Handschuheim, il avait également dirigé les minimes France à la SIG il y a une douzaine d’années et a été l’un des entraîneurs de la section féminine du Pôle espoirs Alsace. Celui qui était, depuis quinze ans, animateur sportif pour l’association Siel Bleu attachait une importance toute particulière à la formation jeune.
Ses protégées se souviennent d’un technicien respectueux des arbitres et des adversaires, « digne en toutes circonstances », à l’écoute des autres, mais jamais dans le jugement. Ce « dingue de basket », comme l’avait qualifié Aymeric Jeanneau après avoir fait sa connaissance, suivait les rencontres de la SIG et avait « surkiffé » de pouvoir assister aux entraînements dirigés par Vincent Collet.
Fan de Radiohead, Marillion, Mogwai et Muse, “Chris” fréquentait assidûment les salles de concert avec ses “Zipot”, Arnold, JD, Arnaud, Marco, et leurs épouses, Babs, Estelle, Agnès et Stéphanie. Lui-même était pacsé, mais cet engagement-là avait été pris pour éviter une mutation à sa “compagne”. Il en plaisantait d’ailleurs, en disant qu’il s’agissait sûrement du seul Pacs au monde jamais consommé…
« Pudique au sens noble du terme », dixit son ami Aurélien, « il n’avait jamais un mot plus haut que l’autre, parlait peu de lui et ne cherchait aucune gloire ». Altruiste, bienveillant, sensible et généreux, Christophe Freysz faisait rimer indulgence et exigence. « C’était une belle personne », a témoigné le CTR Laurent Hantz sur les réseaux sociaux.
À Furdenheim, Christophe Freysz aimait s’asseoir toujours à la même place, à côté de son poteau fétiche, et son ultime souhait avait été de pouvoir la retrouver pour assister à un dernier match. La maladie ne lui en a pas laissé la possibilité et « la partie a repris de l’autre côté des nuages ». Christophe Freysz avait 41 ans, un chat et une voiture jaune presque rangée.
À ses parents, à sa sœur Cathy et à son frère Jean-Luc, ainsi qu’à tous ses proches, les DNA adressent leurs condoléances sincères et attristées. Une cérémonie religieuse est prévue jeudi à 15h15, à la salle polyvalente de Furdenheim.
Christophe Freysz n’est plus
Grand serviteur de la cause basket, Christophe Freysz s’est éteint dimanche. Il avait 41 ans.
« L’Angel All Star game attendait un glorieux coach pour débuter la partie, le meilleur vient d’arriver », a écrit le club de Furdenheim sur son site internet. Entraîneur reconnu, passionné de basket et figure appréciée par tous ceux qui ont eu le privilège de le côtoyer, Christophe Freysz est décédé avant-hier des suites d’une longue maladie, après un combat supporté avec un courage et une dignité qui forcent l’admiration.
Né à Strasbourg le 26 septembre 1974, benjamin d’une famille de trois enfants, Christophe Freysz a été joueur à Furdenheim et son mètre quatre-vingt ne l’avait pas empêché de faire apprécier sa détente lors d’un concours de dunks. Il s’était d’ailleurs aussi essayé au saut en hauteur, à Lingolsheim, après ses saisons de basketteur, avec un record à 1,93 m, « assis ».
Détenteur du BE1, il a coaché les féminines de Furdenheim et Duttlenheim, en championnat de France. Citoyen d’Handschuheim, il avait également dirigé les minimes France à la SIG il y a une douzaine d’années et a été l’un des entraîneurs de la section féminine du Pôle espoirs Alsace. Celui qui était, depuis quinze ans, animateur sportif pour l’association Siel Bleu attachait une importance toute particulière à la formation jeune.
Ses protégées se souviennent d’un technicien respectueux des arbitres et des adversaires, « digne en toutes circonstances », à l’écoute des autres, mais jamais dans le jugement. Ce « dingue de basket », comme l’avait qualifié Aymeric Jeanneau après avoir fait sa connaissance, suivait les rencontres de la SIG et avait « surkiffé » de pouvoir assister aux entraînements dirigés par Vincent Collet.
Fan de Radiohead, Marillion, Mogwai et Muse, “Chris” fréquentait assidûment les salles de concert avec ses “Zipot”, Arnold, JD, Arnaud, Marco, et leurs épouses, Babs, Estelle, Agnès et Stéphanie. Lui-même était pacsé, mais cet engagement-là avait été pris pour éviter une mutation à sa “compagne”. Il en plaisantait d’ailleurs, en disant qu’il s’agissait sûrement du seul Pacs au monde jamais consommé…
« Pudique au sens noble du terme », dixit son ami Aurélien, « il n’avait jamais un mot plus haut que l’autre, parlait peu de lui et ne cherchait aucune gloire ». Altruiste, bienveillant, sensible et généreux, Christophe Freysz faisait rimer indulgence et exigence. « C’était une belle personne », a témoigné le CTR Laurent Hantz sur les réseaux sociaux.
À Furdenheim, Christophe Freysz aimait s’asseoir toujours à la même place, à côté de son poteau fétiche, et son ultime souhait avait été de pouvoir la retrouver pour assister à un dernier match. La maladie ne lui en a pas laissé la possibilité et « la partie a repris de l’autre côté des nuages ». Christophe Freysz avait 41 ans, un chat et une voiture jaune presque rangée.
À ses parents, à sa sœur Cathy et à son frère Jean-Luc, ainsi qu’à tous ses proches, les DNA adressent leurs condoléances sincères et attristées. Une cérémonie religieuse est prévue jeudi à 15h15, à la salle polyvalente de Furdenheim.
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