L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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21ème cross de l'IBAL... la presse en parle
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17 Décembre 2018 - ibal
Source DNA du 17/12/2018
Mémorial Charles Klein à Lingolsheim
Une formalité
Comme prévu, Mohamed-Amine El Bouajaji a survolé le cross des as dont l’arrivée était jugée au parcours santé de Lingolsheim ce dimanche.
Après la première des cinq boucles de 1 530 mètres, il n’y avait déjà plus de suspense. « Je me suis dit que j’allais tenter de le suivre mais, en fait, il est parti beaucoup trop vite pour moi », explique Joan Chenais. Son nouveau partenaire d’entraînement, Mohamed-Amine El Bouajaji, 9e du cross de sélection pour les Europe il y a un mois, était une jambe au-dessus de tout le monde ce dimanche après-midi.
« Ça permettait de remplacer une séance »
Il a bouclé les 7 820 mètres du parcours en 24'51''. « Habituellement, on fait des sorties dans les bois pour s’entraîner, venir ici, ça permettait de remplacer une séance, raconte le lauréat coiffé d’un bonnet de Père Noël. C’est un parcours que je connais bien. Lorsque j’étais petit, j’ai couru beaucoup de championnats académiques ici. »
El Bouajaji ne participera à aucune compétition cet hiver. Son objectif, c’est de réaliser une grosse préparation afin de se qualifier pour le 1 500m des championnats d’Europe espoirs l’été prochain. Joan Chenais, qui a coupé la ligne en 25'50'', vise également l’épreuve continentale, cette fois sur 5 000m. Dimanche, c’est Alexandre Gaugain, coureur de la Robertsau, qui a complété le podium (25'52'').
Du côté des as féminins, Blandine Ducret s’est montrée la plus rapide sur les 4760 mètres du parcours de Lingolsheim (18'04''). Au terme de la première des trois boucles, Emma Wasser et Noah Andres étaient dans sa foulée. À l’issue du tour suivant, seule Wasser s’accrochait encore. Mais sans nourrir trop d’illusions.
« Elle a réaccéléré dans une descente et, là, je me suis dit que je ne la reverrais plus, témoigne la première dauphine. Blandine a plus de caisse que moi. »
Après la première des cinq boucles de 1 530 mètres, il n’y avait déjà plus de suspense. « Je me suis dit que j’allais tenter de le suivre mais, en fait, il est parti beaucoup trop vite pour moi », explique Joan Chenais. Son nouveau partenaire d’entraînement, Mohamed-Amine El Bouajaji, 9e du cross de sélection pour les Europe il y a un mois, était une jambe au-dessus de tout le monde ce dimanche après-midi.
« Ça permettait de remplacer une séance »
Il a bouclé les 7 820 mètres du parcours en 24'51''. « Habituellement, on fait des sorties dans les bois pour s’entraîner, venir ici, ça permettait de remplacer une séance, raconte le lauréat coiffé d’un bonnet de Père Noël. C’est un parcours que je connais bien. Lorsque j’étais petit, j’ai couru beaucoup de championnats académiques ici. »
El Bouajaji ne participera à aucune compétition cet hiver. Son objectif, c’est de réaliser une grosse préparation afin de se qualifier pour le 1 500m des championnats d’Europe espoirs l’été prochain. Joan Chenais, qui a coupé la ligne en 25'50'', vise également l’épreuve continentale, cette fois sur 5 000m. Dimanche, c’est Alexandre Gaugain, coureur de la Robertsau, qui a complété le podium (25'52'').
Du côté des as féminins, Blandine Ducret s’est montrée la plus rapide sur les 4760 mètres du parcours de Lingolsheim (18'04''). Au terme de la première des trois boucles, Emma Wasser et Noah Andres étaient dans sa foulée. À l’issue du tour suivant, seule Wasser s’accrochait encore. Mais sans nourrir trop d’illusions.
« Elle a réaccéléré dans une descente et, là, je me suis dit que je ne la reverrais plus, témoigne la première dauphine. Blandine a plus de caisse que moi. »
Un ruban pour les victimes
« Courir cette course, c’est beaucoup plus sympa que de faire un entraînement, assure la championne du monde de cross par équipes en 1999. Je sentais que, derrière moi, ça poussait. Il ne fallait pas que je ralentisse. » Blandine Ducret a couru avec un ruban noir, en hommage aux victimes de l’attentat de Strasbourg, mardi dernier.
« Il ne faut jamais oublier que cela aurait très bien pu nous arriver à nous aussi, s’émeut la lauréate qui réside dans le quartier de Cronenbourg. Ce ruban, c’est un petit quelque chose pour dire qu’on pense à eux, qu’on ne les oublie pas. »
« Courir cette course, c’est beaucoup plus sympa que de faire un entraînement, assure la championne du monde de cross par équipes en 1999. Je sentais que, derrière moi, ça poussait. Il ne fallait pas que je ralentisse. » Blandine Ducret a couru avec un ruban noir, en hommage aux victimes de l’attentat de Strasbourg, mardi dernier.
« Il ne faut jamais oublier que cela aurait très bien pu nous arriver à nous aussi, s’émeut la lauréate qui réside dans le quartier de Cronenbourg. Ce ruban, c’est un petit quelque chose pour dire qu’on pense à eux, qu’on ne les oublie pas. »
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