L'ouvrage richement illustré, qui retrace l’Histoire de la Fédération Française d'Athlétisme.
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24ème cross de l'IBAL... une belle brochette
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20 Décembre 2021 - ibal
Source DNA du 20/12/2021
Kozar, Kouzkouz, Buridon, la belle brochette
Respectivement en or et en bronze mi-novembre aux championnats de France, Anicet Kozar et Jade Buridon ont évolué à la hauteur de leur statut, dimanche lors du cross de l’IBAL à Lingolsheim. Leurs dauphins, Nabil Kouzkouz et Jennifer Kaiser ont néanmoins des arguments à faire valoir.
Pour leur tout premier cross, Nabil Kouzkouz (Vendenheim Athlé) et Jennifer Kaiser (ASTRE) s’étaient imposés respectivement à Bischwiller et à Sélestat. Dimanche à Lingolsheim, ils ont mesuré l’écart qui les sépare du top niveau français, sans en prendre ombrage, au contraire.
« Ça fait plaisir de se mesurer à une telle concurrence », a apprécié la Boerschoise qui, se piquant au jeu, s’alignera sur les divers championnats en début d’année.
« Il était plus fort, je n’ai pas pu l’accrocher »
L’international marocain de triathlon et de duathlon, licencié depuis septembre à Vendenheim sur les conseils de son ami Zouhair Talbi, toujours et peut-être définitivement établi aux États-Unis, a même été le premier acteur du cross des as.
« Dans mes disciplines, ça part toujours très vite. C’est ce que j’essaye de faire en cross pour préparer ma saison 2022. C’est pourquoi, j’ai fait le premier tour en tête. Mais le vainqueur était plus fort que moi aujourd’hui. Je n’ai pa pu l’accrocher. Je suis néanmoins très satisfait de ma course. »
L’étudiant en master entraînement sport-santé, qui œuvre également dans la recherche scientifique sur la fatigue neuromusculaire, constitue un bien beau renfort pour le S2A, au point de donner des idées au coach de l’ASPTT Strasbourg Jean-Marc Ducret, lequel s’est immédiatement rapproché de son alter ego fédinois, Jacky Loos.
Kozar, direction le Portugal
Une belle équipe de cross court pourrait voir le jour en vue des championnats de France, mi-mars aux Mureaux, avec notamment le concours du triathlète Dorian Muller. Et bien sûr d’Anicet Kozar qui, après avoir privilégié la salle, entrerait dans la danse en cas de qualification.
À Lingolsheim, le champion de France espoir du cross court a impressionné par son aisance, doublée de puissance, et sa maîtrise ; faisant la décision à sa guise. « J’ai accéléré avant le dernier tour, mais je suis resté en rythme. Ce fut une bonne séance, avec tous les collègues d’entraînement. C’est cool avant de partir en stage. »
Au lendemain de Noël, il mettra le cap sur le Portugal avec toute la crème française du 800m, les conditions sanitaires ne lui permettant pas de se rendre au Kenya comme prévu. Et comme en mars dernier, d’où le maillot arboré en ce dimanche.
Le clan Ducret sur tous les fronts
« Au retour, j’enchaînerai avec les compet’ en salle, sur 800m, mais aussi 1500m. » La salle devient aussi la priorité pour Jade Buridon (Molsheim AC), même si, après son podium national en cadette, la désormais junior ne tire évidemment pas un trait sur les labours.
Ce dimanche, sur 4760m, elle a tout de même devancé Jennifer Kaiser d’1’34”, quatre jours après son titre académique et deux jours après de grosses séances de natation.
Un enchaînement qu’elle a senti passer, tout en positivant. « C’est bien d’avoir couru ici, pour varier du Coucou des bois. » On parle là des légendaires séances dominicales du clan Ducret dans la forêt du Neuhof.
Ce même clan a vu le cadet Amine El Asri s’imposer, tout comme… Hugo Ducret, rentré de Nancy, où il fait les beaux jours des U16 de l’ASNL, balle au pied.
Au-dessus du lot, la cadette Élise Neppel (Feg’ Athlé) et la minime Victoria Ramirez (ASL Robertsau) ont démontré qu’il faudra compter avec elle en 2022, ce dès le 9 janvier, lors des championnats du Bas-Rhin à Brumath.
Respectivement en or et en bronze mi-novembre aux championnats de France, Anicet Kozar et Jade Buridon ont évolué à la hauteur de leur statut, dimanche lors du cross de l’IBAL à Lingolsheim. Leurs dauphins, Nabil Kouzkouz et Jennifer Kaiser ont néanmoins des arguments à faire valoir.
Pour leur tout premier cross, Nabil Kouzkouz (Vendenheim Athlé) et Jennifer Kaiser (ASTRE) s’étaient imposés respectivement à Bischwiller et à Sélestat. Dimanche à Lingolsheim, ils ont mesuré l’écart qui les sépare du top niveau français, sans en prendre ombrage, au contraire.
« Ça fait plaisir de se mesurer à une telle concurrence », a apprécié la Boerschoise qui, se piquant au jeu, s’alignera sur les divers championnats en début d’année.
« Il était plus fort, je n’ai pas pu l’accrocher »
L’international marocain de triathlon et de duathlon, licencié depuis septembre à Vendenheim sur les conseils de son ami Zouhair Talbi, toujours et peut-être définitivement établi aux États-Unis, a même été le premier acteur du cross des as.
« Dans mes disciplines, ça part toujours très vite. C’est ce que j’essaye de faire en cross pour préparer ma saison 2022. C’est pourquoi, j’ai fait le premier tour en tête. Mais le vainqueur était plus fort que moi aujourd’hui. Je n’ai pa pu l’accrocher. Je suis néanmoins très satisfait de ma course. »
L’étudiant en master entraînement sport-santé, qui œuvre également dans la recherche scientifique sur la fatigue neuromusculaire, constitue un bien beau renfort pour le S2A, au point de donner des idées au coach de l’ASPTT Strasbourg Jean-Marc Ducret, lequel s’est immédiatement rapproché de son alter ego fédinois, Jacky Loos.
Kozar, direction le Portugal
Une belle équipe de cross court pourrait voir le jour en vue des championnats de France, mi-mars aux Mureaux, avec notamment le concours du triathlète Dorian Muller. Et bien sûr d’Anicet Kozar qui, après avoir privilégié la salle, entrerait dans la danse en cas de qualification.
À Lingolsheim, le champion de France espoir du cross court a impressionné par son aisance, doublée de puissance, et sa maîtrise ; faisant la décision à sa guise. « J’ai accéléré avant le dernier tour, mais je suis resté en rythme. Ce fut une bonne séance, avec tous les collègues d’entraînement. C’est cool avant de partir en stage. »
Au lendemain de Noël, il mettra le cap sur le Portugal avec toute la crème française du 800m, les conditions sanitaires ne lui permettant pas de se rendre au Kenya comme prévu. Et comme en mars dernier, d’où le maillot arboré en ce dimanche.
Le clan Ducret sur tous les fronts
« Au retour, j’enchaînerai avec les compet’ en salle, sur 800m, mais aussi 1500m. » La salle devient aussi la priorité pour Jade Buridon (Molsheim AC), même si, après son podium national en cadette, la désormais junior ne tire évidemment pas un trait sur les labours.
Ce dimanche, sur 4760m, elle a tout de même devancé Jennifer Kaiser d’1’34”, quatre jours après son titre académique et deux jours après de grosses séances de natation.
Un enchaînement qu’elle a senti passer, tout en positivant. « C’est bien d’avoir couru ici, pour varier du Coucou des bois. » On parle là des légendaires séances dominicales du clan Ducret dans la forêt du Neuhof.
Ce même clan a vu le cadet Amine El Asri s’imposer, tout comme… Hugo Ducret, rentré de Nancy, où il fait les beaux jours des U16 de l’ASNL, balle au pied.
Au-dessus du lot, la cadette Élise Neppel (Feg’ Athlé) et la minime Victoria Ramirez (ASL Robertsau) ont démontré qu’il faudra compter avec elle en 2022, ce dès le 9 janvier, lors des championnats du Bas-Rhin à Brumath.
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