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Paris-Alsace à la marche... Sylvie en lice
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1 Juin 2022 - ibal
Source DNA du 31/50/2022
Paris-Alsace à la marche
Sylvie Maison s’attaque à la distance mythique
Pour la 73e édition du Paris-Alsace à la marche, la Lipsheimoise Sylvie Maison va s’attaquer pour la première fois à la distance mythique des 400 kilomètres. Départ ce mardi de Disneyland Paris pour une arrivée prévue samedi à Kaysersberg-Vignoble.
Ce lundi, à la veille du départ, Sylvie Maison a encore passé la journée au milieu de ses élèves du collège de Villé. Professeure de SVT, la Lipsheimoise va pourtant relever un grand défi à partir de ce mardi, en fin de journée : parcourir un peu plus de 400 kilomètres en marchant entre Paris et l’Alsace, jusqu’aux vignobles de Kaysersberg, et plus précisément le village de Kientzheim.
Pour sa dixième participation, celle qui a déjà remporté deux fois l’épreuve sur 300 km (en 2019 et en 2021) s’attaque à la plus longue distance du mythique Paris-Alsace à la marche.
Elle est même la seule femme à s’aligner au départ qui sera donné ce mardi (18h) à Disneyland Paris à l’occasion du prologue puis le lendemain de Château-Thierry pour la première des trois étapes.
« Mon objectif est d’aller au bout »
« J’ai réussi à être sélectionnée pour la plus longue distance en faisant 170 kilomètres en 24 heures lors d’une épreuve qualificative en octobre dernier sur le circuit de Château-Thierry. Mon seul objectif est d’aller au bout. Maintenant que cette distance est ouverte aux femmes, j’ai envie de montrer que l’on peut aussi le faire jusqu’au bout et ça me fait plaisir », explique-t-elle.
Forcément, même si l’expérience de ce type d’épreuve est là, il lui a fallu adapter sa préparation à cette nouvelle et plus longue distance que d’habitude. « J’étais vraiment motivée pour m’entraîner, lance Sylvie Maison. J’ai fait pas mal de kilomètres, même si je n’ai pas pu en faire autant que d’autres par manque de temps. Mais je me sens prête et en forme. Il n’y a pas de crainte. Je vais essayer de bien gérer ma marche pour passer les contrôles en temps et en heure. De toute façon, je n’ai pas d’autre enjeu que d’arriver. »
La centaine de kilomètres à avaler en plus, avec l’aide précieuse de ses équipiers, constitue un point d’interrogation. Savoir doser ses efforts, bien récupérer entre les étapes, voilà les clés de cette 73e édition du Paris-Alsace.
« La gestion de la course sera importante, tout comme la gestion de la fatigue de l’organisme. Le corps fatigue, mais il ne faut pas traîner… Quand on finit un soir, il faut tout de suite repartir le matin suivant », ajoute la licenciée de l’IBA Lingolsheim.
« J’ai hâte d’y être »
Comme elle est la seule féminine à prendre le départ, en compagnie de quatre hommes sur la distance reine (vingt partants dont six femmes sur l’ensemble des trois épreuves), pas de concurrence pour la victoire. Mais peu importe, faire la marche en tête n’est pas le but de ce nouveau périple. Loin de là, même.
« Comme c’est la première fois que je le fais, je n’aurai pas joué la gagne avec une autre, affirme Sylvie Maison. Je pars dans l’inconnu. Je suis surtout contente qu’une femme puisse le faire et le finisse. J’ai hâte d’y être et surtout de prendre du plaisir. »
Sylvie Maison s’attaque à la distance mythique
Pour la 73e édition du Paris-Alsace à la marche, la Lipsheimoise Sylvie Maison va s’attaquer pour la première fois à la distance mythique des 400 kilomètres. Départ ce mardi de Disneyland Paris pour une arrivée prévue samedi à Kaysersberg-Vignoble.
Ce lundi, à la veille du départ, Sylvie Maison a encore passé la journée au milieu de ses élèves du collège de Villé. Professeure de SVT, la Lipsheimoise va pourtant relever un grand défi à partir de ce mardi, en fin de journée : parcourir un peu plus de 400 kilomètres en marchant entre Paris et l’Alsace, jusqu’aux vignobles de Kaysersberg, et plus précisément le village de Kientzheim.
Pour sa dixième participation, celle qui a déjà remporté deux fois l’épreuve sur 300 km (en 2019 et en 2021) s’attaque à la plus longue distance du mythique Paris-Alsace à la marche.
Elle est même la seule femme à s’aligner au départ qui sera donné ce mardi (18h) à Disneyland Paris à l’occasion du prologue puis le lendemain de Château-Thierry pour la première des trois étapes.
« Mon objectif est d’aller au bout »
« J’ai réussi à être sélectionnée pour la plus longue distance en faisant 170 kilomètres en 24 heures lors d’une épreuve qualificative en octobre dernier sur le circuit de Château-Thierry. Mon seul objectif est d’aller au bout. Maintenant que cette distance est ouverte aux femmes, j’ai envie de montrer que l’on peut aussi le faire jusqu’au bout et ça me fait plaisir », explique-t-elle.
Forcément, même si l’expérience de ce type d’épreuve est là, il lui a fallu adapter sa préparation à cette nouvelle et plus longue distance que d’habitude. « J’étais vraiment motivée pour m’entraîner, lance Sylvie Maison. J’ai fait pas mal de kilomètres, même si je n’ai pas pu en faire autant que d’autres par manque de temps. Mais je me sens prête et en forme. Il n’y a pas de crainte. Je vais essayer de bien gérer ma marche pour passer les contrôles en temps et en heure. De toute façon, je n’ai pas d’autre enjeu que d’arriver. »
La centaine de kilomètres à avaler en plus, avec l’aide précieuse de ses équipiers, constitue un point d’interrogation. Savoir doser ses efforts, bien récupérer entre les étapes, voilà les clés de cette 73e édition du Paris-Alsace.
« La gestion de la course sera importante, tout comme la gestion de la fatigue de l’organisme. Le corps fatigue, mais il ne faut pas traîner… Quand on finit un soir, il faut tout de suite repartir le matin suivant », ajoute la licenciée de l’IBA Lingolsheim.
« J’ai hâte d’y être »
Comme elle est la seule féminine à prendre le départ, en compagnie de quatre hommes sur la distance reine (vingt partants dont six femmes sur l’ensemble des trois épreuves), pas de concurrence pour la victoire. Mais peu importe, faire la marche en tête n’est pas le but de ce nouveau périple. Loin de là, même.
« Comme c’est la première fois que je le fais, je n’aurai pas joué la gagne avec une autre, affirme Sylvie Maison. Je pars dans l’inconnu. Je suis surtout contente qu’une femme puisse le faire et le finisse. J’ai hâte d’y être et surtout de prendre du plaisir. »
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